Traiter les angoisses du confinement par la psychothérapie à Paris ou par téléphone

 

Avec la deuxième vague vient le deuxième confinement. Depuis hier, les français sont à nouveau assujettis à résidence pour endiguer la recrudescence des cas de Covid 19 et la saturation des hôpitaux, à Paris et dans toute la France. Mais à la différence du premier confinement qui fut particulièrement éprouvant pour de nombreux français, nous avons pu apprendre de cette expérience et ainsi créer des solutions pour que le confinement ne soit pas vécu comme une véritable torture par de nombreux français et françaises.

 

En effet, si le premier confinement a été éprouvant pour tout le monde, il ressort après quelques mois que cette épreuve n’a pas du tout été vécue de la même manière selon chacun. Au-delà des différences matérielles des modalités de confinements qui ont largement pesées dans la balance – tel que la surface du logement, les conditions de travail, la solitude ou encore la double gestion des enfants et du télétravail – la pénibilité dans le confinement dépend également, et peut être même surtout, de la perspective avec laquelle le confinement est appréhendé.

 

Autrement dit, le confinement n’est pas vécu de la même manière en fonction de la subjectivité de chacun.

 

Aussi, si le confinement peut être considéré avec une certaine résignation, il peut également être vécu comme une véritable torture mentale, comme un évènement particulièrement contraignant et angoissant.

 

Au-delà des préoccupations légitimes liées à la situation d’urgence sanitaire, qu’est-ce que révèlent les angoisses du confinement ?  

 

Ce qui ressort des psychothérapies qui ont pu continuer ou se commencer par téléphone lors du premier confinement, c’est que les angoisses du confinement viennent réveiller un certain nombre de difficultés qui étaient plus ou moins latente.

 

Entre l’angoisse de la mort ou de la maladie, entre l’obsession qu’il n’arrive un malheur à un proche et l’obsession de perdre sa liberté, entre la peur de vivre enfermé et celle de vivre librement, les angoisses du confinement viennent réveiller un certain nombres d’obsessions et d’angoisses qui restaient plus ou moins dissimulées.

 

Mais de la même manière que la psychothérapie par téléphone pendant le premier confinement a permis de révéler que derrière les angoisses du confinement peuvent se cacher différentes difficultés, notamment l’impression d’être puni ou encore un sentiment de culpabilité latent, elle a également permis de mettre en évidence que le vécu angoissant et contraignant du confinement n’est pas une fatalité.

 

Alors, s’il est possible pour ce nouveau confinement de faire sa psychothérapie en se déplaçant au cabinet du psychothérapeute ou même par téléphone pour celles et ceux qui ne peuvent faire autrement, celles et ceux qui appréhendent cette nouvelle épreuve pourront trouver facilement une écoute psychothérapeutique pour traiter leurs angoisses.    

 

Pour traiter par la psychothérapie les angoisses que ce reconfinement peut créer ou réveiller, je vous invite à me contacter directement.